2ème JOURNÉE CHAMPIONNAT DE FRANCE DES CLUBS NATIONALE II A (08/01/2011)
Pour cette deuxième journée du championnat, nous avons du prendre la direction de la Mayenne pluvieuse et garer le minibus sur le parking de la salle d’Evron(53). En effet pour ce tour nous affrontons le club local et celui de Saint Herblain.
Nous avons récupéré Chacha à Rennes et sous des trombes d’eau nous sommes arrivés à destination.
Sportivement parlant, nous n’avons pas été des foudres de guerre, nous avons encore raté 12 essais sur 30, aussi performant qu’à Lorient!!!. Si Jean Marie et Dylan marquent plus de points que le match précédent, il n’en est pas de même pour les trois autres, leurs copies sont à revoir!!!
Je vais maintenant aborder un sujet qui va sûrement fâcher certaines personnes mais à un moment où l’autre il faut lâcher ce que l’on a sur le cœur. En effet au lieu de s’occuper de la composition des équipes régionales des autres clubs le club d’Evron devrait d’abord balayer devant sa porte, et commencer par respecter lui même le règlement technique IWF 2009 et la charte de l’organisation des compétitions de nationale de la FFHMFAC.
Le nombre de non respect des règles de ces deux documents est important, plateau collé au mur du fond, support de disque à 70cm du plateau, les arbitres ne sont pas à 4 m du bord du plateau, pas de tableau de suivi pour les spectateurs, etc……
J’oubliais, si les parents de Chacha et sa grand-mère n’étaient pas venus, nous aurions évolué devant une salle vide de spectateurs avec un décor de fond de scène que je n’oserai présenter pour une compétition départementale (je possède les photos qui le prouve). Nous étions loin du Championnat de France des clubs vitrine de l’haltérophilie Française!!!!!!!!
Je ne parlerai pas des bassesses habituelles (plateaux des visiteurs dans le passage pour se rendre sur l’aire de compétition, aucun sièges pour les adversaires, classeurs à poids posés sur les plateaux de l’équipe de Saint Herblain, etc.) qui font que cette rencontre de samedi est loin de nous laisser un souvenir impérissable.
Voilà, j’ai écris ce que j’avais à écrire, je ne reviendrais plus dessus.